La grève qui s'est amorcée lundi à la Société de transport de Montréal (STM) pourrait prendre de l'ampleur, si la négociation ne se conclut pas bientôt.
Pour le moment, le syndicat représentant 2400 employés de l'entretien est le seul à exercer son mandat de grève, et ce, du 9 au 17 juin.
C'est toutefois le début possible de plusieurs perturbations alors que d'autres syndicats, dont celui des chauffeurs, pourraient entrer dans la danse.
«Cette grève va probablement durer longtemps, longtemps, longtemps... pendant plusieurs semaines...»
«Je ne vois pas comment la STM pourrait reculer...La STM a besoin de ces économies-là...»